Séquence métal, certains sons parfois me débusquent au fin fond de mon antre. Ils déchirent la nuit, brisent le silence.
Mon âme de loup aime la nuit et l'absence de lumière, voilà donc un titre d'album auquel j'adhère...
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- Dans quelques jours je te rejoints. Je t'ai rattrapé... - Tu vois... Tu vieillis. Tu te moquais bien de moi ! Tu auras toujours de l'avance que tu me répondais. - Et c'était vrai... Tes cheveux blancs et ta barbe toute grisonnante ! Oui c'était vrai, quand je te regardais je pouvais me dire, c'est ma tête dans 14 ans, ou presque. - Hahaha, tu étais trop sage ! Tu as sûrement moins de rides que moi aujourd'hui, que celles que j'avais déjà, il y a 14 ans. As-tu la barbe ? - Non, jamais ! Je vous ressemble trop sinon et ça fait mal dans le miroir ! - Pourquoi ça fait mal ? Souviens toi, je t'ai appris à écouter Brassens et il disait quoi ? Ce n'est rien que Comédie - que de fausse sortie ! - Oui... Mais Patou, tu n'es pas parti seul ! - ... - Le Yan t'a emboité le pas, très vite, trop tôt ! Quoi ? tu ne savais pas ? - Non ! Comment ? - A moto...Tout est lié. Il a acheté son gros cube, avec les sous qu'on a touché de ton assuranc
Je ne suis pas resté insensible à l'esthétique de ce film, aux accents gothiques prononcés ainsi qu'à l'ambiance musicale. Forcément, la noirceur vampirique teinte fortement chaque scène du film. Je n'ai pas lu le livre d'Anne Rice, je garde donc une certaine virginité dans l'appréhension de la version cinématographique. Donc j'ai apprécié. Cette ambiance gothique, je la retrouve sur CanaillouGoth . Pour nos petits louveteaux, on a tout un choix de TShirts rocks et rebelles .
La lune a croisé le jour de mon anniversaire : pleine pour faire renaitre le loup, au rendez-vous pour la naissance de l'homme. Le duel de cette dernière nuit a été plus violent, plus intense. L'humain contre la bête : aucun n'a pris le dessus. La situation était propice à l'exceptionnel, et l'exceptionnel a tenu ses promesses. Les bois, les ombres, les cicatrices du dernier incendie ont posé le décor. J'ai coursé quelques chèvres, des écureuils, sans verser le sang... Je me suis posé sur un rocher, face à la mer pour profiter du reflet de la lune dans l'eau. Et au loin, je l'ai aperçue. Gravissant la colline, dans sa cape en mousseline rouge. Le chaperon rouge. Je ne sais si elle allait voir sa mère-grand, elle n'avait pas de panier. Et au cœur de la nuit, mère-grand doit profondément dormir, n'en déplaise au conte. Depuis le temps que j’espérais la rencontrer, elle se présentait d'elle même à moi. Le chasseur
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